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  • Aujourd'hui nous parlerons d'un film Saint Seiya: Saint Seiya la légende du sanctuaire.

    C'est une adaptation du manga de Masami Kurumada eet une réadaptation des épisodes 42 à 73 soit 31 épisodes d'une vingtaine de minutes et tout cela en  93 minutes.

    /PLEURES/

    Saint Seiya la légende du sanctuaire

    Lors d'une bataille entre Aiolos et Saga, le premier cherchant à protéger le bébé Athéna et le second à la tuer, finiront sur un point d'égalité, Athéna restant en vie. Un peu après, lors d'une expédition au Tibet, Mitsumasa Kido trouve Aiolos (en train d'agoniser) et un bébé qu'il lui présente comme la réincarnation d'Athéna. Celui-ci lui confie Athéna en lui demandant de la protéger et d'attendre ses protecteurs qui seront prêts dans 16 ans.

    Seize ans plus tard, Athéna a été appelée Saori Kido par Mitsumasa qui l'a élevé en prétendant être son grand-père, elle se rend à l'aéroport où elle est conduite par son majordome Tokumaru Tatsumi qui lui révèle qu'elle est la réincarnation d'Athéna et quel est son destin. C'est alors qu'une attaque ayant pour but de la tuer éclate, puis Seiya surgit et frappe son agresseur, accompagné de Shiryu, Hyoga et Shun…

    Saint Seiya la légende du sanctuaire

     /chuchote/ même le résumé wiki est péter.

     

    Donc...31 épisodes en 93 minutes. Vous vous doutez que ce n'est pas possible, non? Ou c'est quelque chose fait à l'arrache.

    Je ne critique pas les graphiques qui me semble pas mal mais je vais quand même poser quelques questions:

    • Depuis quand les chevaliers d'or volent?
    • Depuis quand le sanctuaire se trouve dans un monde appart accessible part rayon magique et qui possède deux lunes?
    • Elles sont devenus quoi Shaina et Marine?
    • Pourquoi Milo est une fille?
    • Depuis quand Mu a des sourcils et des lunettes?

    Je ne vais pas poser toutes les questions qui me passe par la tête. Il y en a trop.

    Le film est rempli d'incohérence et ne suis pas le manga. Les personnages de Shun, Shiryu et Hyoga n'ont aucunes émotions. Ils sont là pour faire joli. Seiya est le comique de service et Ikki a autant de temps de temps d'écran qu'une délicieuse mousse au chocolat entre mes mains: 15 secondes et il sert à rien.

    Les armures ont elles aussi été modifier. Je vous laisse donner vos impressions parce que moi...je ne sais pas. Ah et dites adieu au boites de pandore: Bonjour aux médaillons (repris dans Saint Seiya Oméga sous forme de bijoux) et aux portes de placards.

    Saint Seiya la légende du sanctuaire

    Passons aux points le plus important où celui où il y a BEAUCOUP de chose à dire. Et quand je dis beaucoup c'est plus ÉNORMÉMENT.

    Donc:

    • Mu du Bélier: j'en ai déjà parler plus haut. Ses attaques ne ressemblent pas à ceux du manga mais tout se passe comme dans le manga.
    • Aldébaran du Taureau: a un...piercing au nez en mode vache? Meuh!!...passons...Tout ce passe comme dans l'anime on va dire sauf que cela se passe en moins de 2 minutes top chrono. Parce qu'on a pas le temps d'expliquer et de trouver le septième sens.
    • Les gémeaux:....qui?
    • Masque de Mort du Cancer: vous file le cancer. /rire nerveux/ Il chante. (princesse Disney)/verse des larmes de sang/
    • Alolia du Lion + Shaka de la Vierge: se battent. Logique où es tu?
    • Milo du Scorpion au féminin: envoie les chevaliers de bronze dans la maison du Sagittaire garder par Shura du Capricorne. Mais oui bien sur.
    • Camus du Verseau: se bat avec Hyoga. Oui très bien...OH PAR HADES!! Camus c'est quoi cette horreur sur ton épaule? La jarre du Verseau? Au fait pourquoi tu as le design de Degel?
    • Aphrodite des Poissons: meurt tuer par Saga et...non...OH PAR HADES!! Qu'est-ce qu'ils t'on fait? Des boucles anglaises? Didite je suis désolée pour toi. /pleure/ C'est horrible. Ils n'avaient pas le droit de te faire ça.

    Bon reprenons. Ensuite Saga et Seiya, seul, se battent. Saga entame une fasse de boss dégueulasse. Pardonner la vulgarité s'il vous plait mais là c’est trop. 

    Et ça se finis avec une Saori aux cheveux courts.

     

    La présentation/critique/avis est peut être expéditive mais c'est le seul moyen que j'ai eu pour finir cette...chose.

    Le film n'est pas mauvais même si mon écrit fait penser le contraire mais il est intéressant à regarder dans le sens: passer le temps.

    Mon avis: débrancher votre cerveau, préparer les anti-dépresseur (surtout avec le passage avec Masque de Mort) et prenez un ami avec vous (c'est toujours utile).

    Sur ce bon visionnage et en bonus un lien pour mon inspiration: https://www.youtube.com/watch?v=aW1Jn0I5gzc

     

    Margaret: Tu as pris en compte le conseil de Nagisa?

    Oui c'était une bonne idée de sa part et c'est plus correct vis à vis des lecteurs.

    Margaret: ...

    ...

    Margaret: Ils sont où?

    Aucune idée.

    Margaret: ...

    ...

    Margaret: ...

    Peut être entrain de se saouler chez le grand pope.

    Margaret: C'est fort possible.

    Saint Seiya la légende du sanctuaire

    Au fait, un petit cadeau pour vous: Masque de Mort en princesse Disney.

    Saint Seiya la légende du sanctuaire


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  • Chapitre 38: Sur les pas d'Izanami

    19h45

    Aéroport d’Osaka :

    Aïska et les moines du sanctuaire ont payé mon billet et m’ont donné une bonne partie de leur économie. Ils voulaient tout me donner mais j’ai refusé. C’était trop gênant.

    Je me mets à déambuler dans la rue sans savoir trop où aller Je décide de quitter les alentours animés de la ville pour ses abords.

    Cela fait plus d’une heure que je me guide à l’aide de la boussole. Elle est étrange. Elle ne me guide plus vers le nord mais vers l’ouest.

    Toujours le nez sur ma boussole, je ne vis pas la femme à laquelle je me cogne.

     

    -Oups. Sorry. (Oups. Désolée)

     

    Je ne fais pas fais pas vraiment attention à ce qui se passe. Je l’aide juste à se relever et m’apprête à repartir mais elle enserre mon poignet avec force entre ses doigts osseux. Je la regarde plus attentivement et réprime de justesse un mouvement de dégoût.

    La femme est laide. Affreuse. Repoussante. Elle a d’humain que la silhouette. Son corps informe ondule au grès des insectes qui glissent sur elle dans un suintement visqueux.  L’odeur putride qui émane de son cadavre en est toxique.

    Shikome, une femme sorcières du Yomi : le monde des morts.

    Elle me tire et m’emmène vers un immense temple. On grimpe les 2 759 marches dans un silence oppressant entrecoupé de cris étranges et de râles. 2 759 marches. J’ai compté pour ne pas céder à la peur et de ne pas m’évanouir. On avance vers l’autel. Il est encadré par quatre grandes statues de renards. De chaque côté du chemin et cela tout autour du temple s’étant un immense cimetière. Cliché. J’ai l’impression d’être dans un film.

    La shikome me laisse devant l’autel et rejoint ses sept sœurs toutes plus repoussantes les unes que les autres.

    J’ignore dans quel temple je suis mais autant prié. Je sors quelques pièces, un ruban, une fleur et les pose sur l’autel. Je ne sais pas pourquoi je fais ça. Je ne mets à prier. Quand j’ai fini, je me retourne et…reste statufié.

    Je trouvais les shikomes repoussantes et je ne pensais pas voir quelque chose de plus horrible qu’elles mais là…

    L’horreur. Ce mot a été inventé pour elle. Une femme se tient devant moi. Elle est grande, très grande. Je lui arrive à la taille. Son corps est aussi maigre voire plus que celui d’Aïska. Sas cheveux de jais ondule comme des serpents. Ses yeux sombres comme de l’encre de Chine sont ternes. Sa peau, qui autrefois devait être laiteuse, est grisâtre voire verdâtre et fissuré comme ceux des poupées de porcelaines éméchées. Partout sur son corps des limaces blanches pullulent sur sa peau redessinant chacune des courbes de son corps. Elle est monstrueuse. Ses mains sont comme de longues griffes prêtes à vous arracher la colonne vertébrale avec les côtes. Ses pieds sont comme des serres acérées prêt à nous réduire en bouillit. Sa bouche n’est qu’un gouffre abyssal. Elle est divinement écœurante.

    - Watashi wa Izanami, sōzō to shi no megami, Izanagi no tsuma, Yomi no aijindesu. Erisu o matteita. (Je suis Izanami, déesse de la création et de la mort, femme d’Izanagi et maitresse du Yomi. Je t’attendais Eris.)

     

    Sa voix d’outre-tombe à rouler dans le silence comme le tonnerre qui gronde. Je du me boucher les oreilles tellement sa voix est puissante. Je comprends un peu ce qu’elle me dit par curiosité j’ai appris la langue. Mais l’odeur immonde me fait m’évanouir.

    Un peu plus tard, je reviens à moi. La déesse a quitté son apparence divine qu’elle revêtait habituellement pour l’apparence qu’elle avait avant : belle, douce et un parfum plus agréable qu’Immondice n°5. Il est vrai que c’est mieux comme réveille. Je quitte ses genoux.

    - Watashi wa... Arigatō... Anata no igen? (Je…Merci…votre majesté ?)

     

    Elle hoche la tête et se dirige vers mes offrandes. Une shikome prend le ruban et noue les cheveux d’Izanami tandis qu’une autre pique la fleur dans sa coiffure. Une des shikome ne rend mes pièces.

    - Anata no igen... Watashi wa megami kārī no meirei de kimashita. Watashi ga hitsuyōdesu ka? (Votre majesté…Je suis venus sur ordre de la déesse Kali. Auriez-vous besoin de moi ?)

     

    La déesse me prend par la taille et court comme une furie à travers les rues. Elle ne s’arrête qu’en face d’une maison typique japonaise où des éclats de voix violents se font entendre.

    - Kono-ka ga miemasu ka? Mā, soko ni sunde iru hito wa, watashi no shinden no saigo no shugoshin no idaina idaina idaina idaina idaina magodesu. Kono otoko ni wa, watashi no reihai o tantō shite iru saigo no on'na no chīsanadearu tsuma ga imasu. Karera ni wa 3-ri no kodomo ga imasu. Kon'ya no unmei wa, karera ga watashi ni kuru koto o nozonde imasu. Hoshiku arimasen. (Tu vois cette maison ? Eh bien, l’homme qui y vit est l’arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-petit-fils de mon dernier prêtre gardien de mon temple. Cet homme a une femme qui est la petite nièce de la dernière prêtresse chargée de mon culte. Ils ont trois enfants. Ce soir le destin veux qu’ils viennent à moi. Or je ne le veux pas.)

    - Sorera o hozon shimasu ka? (Vous voulez donc je les sauve ?)

    - Wakatta. Watashi wa onshirazude wa arimasen. Anata no hōshū wa anata no yūki shidaidesu. (Tu as compris. Je ne suis pas ingrate. Ta récompense sera à la hauteur de ta bravoure.)

     

    Je cours jusqu’à la maison, me déchaussant rapidement. Je sors ma dague et me jette sur le premier homme que je rencontre.


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  • Chapitre 37: Kali

    Deux ans se sont écoulés depuis que je suis arrivée au temple de Kali et que j’ai rencontré Aïska.

    Il est un peu bizarre mais très gentil. J’ai eu du mal à comprendre ce qu’il disait étant donné qu’il ne parle que par énigme et métaphore. Sa voix ne possède en plus zéro changement intonation. Elle garde un timbre calme, doux et lent…soporifique.

    Aïska est arrivé dans ce temple il y a vingt ans et est le gardien du jardin des scarifications. Avant il était cartomancien, il lisait l’avenir dans les cartes. Passé de cartomancien à moine ça fait un sacré choc. Surtout que d’après les autres moines, il était doué. Mais ça c’était avant de perdre la vue. Il refuse de me dire comment il l’a perdu.

    Je n’ai pas trouvé toutes les réponses à mes questions mais comme dit Aïska : « laisse le temps au temps, rien ne sert de se presser quand le vent guide nos pas. » Si quelqu’un comprend cette phrase qu’il vienne me voir car là je suis larguée.

    Je pense bientôt reprendre ma route. Les moines, Aïska et le prêtre supérieur sont très gentils avec moi mais je ne peux pas rester éternellement ici.

    France, Angleterre, Espagne, Corse, Italie, Belgique, Danemark, Russie, Tibet, Chine, Viet Nam, Inde. Au cours de ses six dernières années, j’ai vécu beaucoup de choses, rencontré beaucoup de gens. J’ai muri.

    Aïska s’installe à côté de moi et tout deux on se mit à observer le ciel étoilé.

     

    - If you were a star you would be the constellation of the wolf. You are lonely but you like to be in a pack. (Si tu étais une étoile tu serais la constellation du loup. Tu es solitaire mais tu aimes être en meute.)

     

    Je le regarde surprise et un peu décontenancer.

     

    - You are the alpha. (Tu es l’alpha.)

    -Hein ?

    - The alpha is the leader and is always followed by the omega. If you were a flower, you would be an orchid. (L’alpha est le meneur et es toujours suivi  par l’oméga. Si tu étais une fleur, tu serais une orchidée.)

    -Je l’ai perdu.

    - A dreamy, curious, creative and original flower You're like this flower You bring a breath of fresh air to the people around you Do you know where your name comes from? (Une fleur rêveuse, curieuse, créative et original. Tu es comme cette fleur. Tu apporte une véritable bouffée d’air frais pour les gens qui t’entoure. Sais-tu d’où viens ton nom ?)

    - From a name list book? (D’un bouquin de liste de nom ?)

    - From ancient Greece, Eris was a Greek goddess, daughter of Nyx, goddess of the night, she was the goddess of discord, but that does not mean she was an evil goddess. that discord, it also awakens the fighting ardor of men, like you with the help of bringing all these people to you so far.  (De la Grèce antique. Eris était une déesse grecque. Fille de Nyx, déesse de la nuit, elle était la déesse de la discorde. Attention, ça ne veut pas dire qu’elle était une déesse maléfique. Eris n’apporte pas que la discorde. Elle réveille aussi l’ardeur combatif des hommes. Comme toi avec l’aide que t’on apporter toutes ces personnes pour que tu arrives jusqu’ici.)

     

    Un long silence et un ange passe.

     

    -I'll tell Bendhi to stop confusing the marijuana leaves with the tea leaves - you start poking cables ... it's scary. (Je dirais à Bendhi d’arrêter de confondre les feuilles de marijuana avec les feuilles de thé. Tu commences à peter des câbles…ça fait peur.)

    -I'm not kidding !!! Kind of ungrateful! I'm trying to cheer you up and you ... (Je ne suis pas défoncer !!! Espèce d’ingrate !! J’essais de te remonter le moral et toi tu…)

     

    Je me mets à rire devant son air outré. Il finit par me suivre dans mon fou rire après avoir fait une moue boudeuse.

    On continue de nous chamailler et à rire jusqu’à ce que l’on s’arrête pour regarder le ciel. Au bout d’un moment, je décide de lui faire part d’un rêve récurent qui me perturbe depuis plus d’un mois.

    Une femme nue à la peau noire tirant la langue qui porte un collier de crânes humains et un pagne de bras coupés. Dans une de ses quatre mains, elle tenait un crâne humain et dans l’autre une sorte de grand sabre recourber. Elle piétinait avec une rage folle le sol, une de ses larges et puissantes mains enserraient une des miennes tandis que sa dernière main pointait un point de la carte avec impatience.

     

    - So ... Chamunda came to see you. (Tiens donc…Chamunda est venu te voir.)

    -Chamunda ?

    - This is the other name of the goddess Kali. (C’est l’autre nom de la déesse Kali.)

     

    On se lève et entrons dans le bureau du prêtre supérieur. Après lui avoir expliquer la raison de notre visite tardive et de mon rêve. Il étend une vieille carte du monde.

     

    - Devee kaalee samay, mrtyu aur uddhaar kee maalakin hain. vah duniya kee vinaashakaaree aur rachanaatmak maan hain. (La déesse Kali est la maitresse du temps, de la mort et de la délivrance. Elle est la mère destructrice et créatrice du monde.)

    - Aapane mujhe kyon dekha? (Pourquoi m’est-elle apparu selon vous ?)

    - Aapane kaha ki usane nakshe par ek bindu kee or ishaara kiya hai, ho sakata hai ki vah aapakee yaatra par aapako dekhane ke lie intajaar na kar sake, kya aap is nakshe par dekhate hain ki vah aapako kahaan bhejana chaahata hai? (Tu as dis qu’elle te désignait un point sur la carte. Peut être qu’elle est impatiente de te voir reprendre ton voyage ? Est-ce que tu vois sur cette carte là où elle désire t’envoyer ?)

     

    Je lance un pique, que me tend Aïska, sur la carte.

     

    - Jaapaan. Adhik sateek osaaka. (Japon. Plus exactement Osaka.)

    - Agar vah chaahatee hai to aapako jaana hoga. (Si c’est ce qu’elle désire alors tu dois y aller.)

     

    Osaka…Pourquoi là-bas ?

     

    -Vas là-bas. Ai confiance en moi et en Kali. Elle est une très vieille connaissance.

    -Bien. Direction Osaka.

     


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